Pushing Daisies ...
Après la larmoyante fin de Scrubs
La presque larmoyante fin de Pushing Daisies
Série, pour les incultes, à l'univers digne de l'enfant caché de Tim Burton et Jean-Pierre Jeunet et injustement annulée pour part d'audience insuffisante.
On regrettera alors la fin d'une série complète concentrée en un seul épisode, avec une conclusion un peu hâtive plus la volonté de mettre de côté l'aspect de l'amour physique impossible. Mais une bonne fin quand même.
Je reprendrai alors exactement les mots de BlaBla-Séries :
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Pushing Daisies (2.13 Kerplunk series finale)
S’achever sur le monde de la natation, à travers en l’occurrence les
deux tantes version synchronisées chères au cœur de Chuck, était la
bonne idée de fin, entre folie visuelle et nostalgie des héros. En plus
d’un univers aquatique tout aussi bien représenté que les autres
déployés au cours des deux saisons (mention spéciale à l’univers du
concours culinaire, du cirque et du couvent), l’épisode se nourrit
d’une intrigue policière des plus classiques (peut-être trop classique)
pour mettre en avant Lily et Vivian, deux personnages phares qui, de
par leur personnalité atypique, méritaient un tel zoom.
Sans
oser éclaircir le mystère du Pie Maker et annoncer l’évolution de
l’histoire d’amour de Ned et Chuck, l’épisode final d’une série centrée
sur lesdites facettes pouvait décevoir. Mais plus subtil qu’il n’y
paraît, plus fouillé que prévu, ce series final a le mérite
d’approfondir les relations qui lient les personnages ensemble, de
rappeler les périples d’une troupe d’enquêteurs pascomme les autres,
sans en dire trop, sans se terminer sur un happy end convenu, qui
aurait été pour le coup trop sucré. Un peu comme le final mesuré de
Dead Like Me, c’est tout l’art de Bryan.
(8/10)
"
Sans oublier que grâce à cette série, le public français a pu découvrir de super acteurs dont entre autre la chanteuse loufoque Kristin Chenoweth